Le Ministère de la Cohésion nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté et l’Organisation Internationale de Droit du Développement (OIDD) ont procédé à une signature de convention ce mercredi 5 Juin 2024 au Cabinet. A travers ce partenariat, les deux entités décident d’unir leurs forces pour éradiquer le phénomène de la traite des personnes.
L’Organisation Internationale de Droit du Développement (OIDD) vient s’ajouter à la liste des structures partenaires au Ministère de la Cohésion Nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté dans la lutte contre le phénomène de la traite des êtres humains. Un partenariat qui réjouit une fois de plus la Ministre Belmonde DOGO dans le renforcement des acquis du Comité National de Lutte contre la Traite des Personnes (CNLTP) dont elle assure le Secrétariat Exécutif. « Cette convention qui vient d’être signée va améliorer la prévention, les interventions du comité et la protection des victimes de traites de personnes. Nous remercions l’OIDD pour son engagement avec le ministère pour lutter contre ce fléau et sauvegarder des vies humaines. » Soutient Belmonde DOGO en insistant sur la collaboration entre son département ministériel et les pays de l’union du fleuve Mano impliqués dans cette lutte.
De l’autre côté, Chinyelumugo Okoh Directrice Pays Liberia de l’OIDD dit compter sur le leadership de la Ministre de la Cohésion Nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté de sorte à ce que la réalisation des activités contenues dans cet accord de partenariat puisse atteindre les objectifs assignés au projet. « Nous avons travaillé sur un plan d’actions et il est important que nous puissions à travers ces activités obtenir des résultats convaincants. Nous souhaitons qu’à travers ce projet, le Comité National de Lutte contre la Traite des Personnes intensifie davantage la lutte contre la traite des personnes. »
Il y a lieu de noter que l’OIDD est une structure internationale œuvrant pour les droits de l’Homme et pour la lutte contre la traite des personnes. Basée au Liberia, elle intervient en Sierra Léone et en Guinée dans le cadre d’un projet mis en place de l’union du fleuve Mano.