Comme il est de coutume chaque année, la Ministre de la Cohésion Nationale, de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté Myss Belmonde DOGO a permis à 5000 enfants issus de familles vulnérables de la région du Gôh de gouter à la magie de Noël. Ces tout-petits venant des Sous-Préfectures de Galébré, Guibéroua Dignago et du département de Gagnoa se sont vus comblés de cadeaux les 21 et 22 décembre 2024.
Danses, chants et jeux, telles sont les articulations qui ont réjoui le cœur des enfants à l’occasion de ce énième arbre de Noël à l’initiative de la Ministre Belmonde DOGO. Des moments de joie qu’exprime N’Guessan Delphine âgée de 09 ans au nom de tous les enfants bénéficiaires du Grand Guibéroua. « Ces cadeaux ne sont pas simplement des objets, Ce geste marque des symboles de votre humanisme et de partage qui sont des valeurs à transmettre » fait-elle remarquer à la Ministre la considérant par ailleurs comme la « Mère » de tous les enfants de la région en raison de son sens de solidarité envers eux. « Grâce à vous, nous passerons une merveilleuse fête de Noël » rassure la petite Delphine.
L’innovation de cette année est la mise à disposition d’un espace de jeux pour enfants en vue de les égayer et d’insuffler une ambiance de fête. « Il est important pour nous de permettre aux enfants dans le besoin et vivant à l’intérieur du pays de vivre le même rêve que ceux d’Abidjan (..) A l’instar de tous les enfants, nos tout petits issus de familles étant dans le besoin doivent bénéficier de cet arbre de Noël pour leur apporter ne serait-ce qu’un sourire » indique Myss Belmonde DOGO suite à la remise des cadeaux.
A Gagnoa, 1000 enfants ont également profité de la générosité de la « Mère Noël » pour la circonstance.
La veille, la Ministre Belmonde DOGO s’est rendue dans le village de Bagassehoa dans la Sous-Préfecture de Dignago pour vivre des moments de fête avec les enfants et ceux de villages environnants. Eux aussi ont eu droit à des cadeaux.
La fête de Noël du partage dans la région du Gôh 2024 est à sa 8e édition faut-il le rappeler.