Le dernier trimestre de l’année 2024 sera dédié à la Cohésion nationale, conformément aux instructions de Myss Belmonde Dogo, Ministre de la Cohésion Nationale de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté. Ainsi le lundi 23 septembre 2024,  une séance de travail a eu lieu entre la Ministre et les entités responsables de la cohésion  au sein du  ministère. Cette rencontre intervient en vue de faire non seulement le bilan des activités réalisées à près d’un an d’exécution mais également de se projeter pour les mois à venir. A cette occasion, elle a lancé un appel à ses collaborateurs en vue de faire en sorte d’accentuer les actions contribuant à renforcer les actions de paix et de cohésion sociale sur l’ensemble du territoire.

Au cours de la rencontre les responsables de la direction générale  de la cohésion nationale ont fait l’économie  de toutes  les activités menées sur le territoire par les différentes  entités du programme 4 de janvier à septembre 2024. Ce programme consiste à mobiliser les acteurs politiques, la société civile et les partenaires techniques et financiers pour la tenue d’élections inclusives et apaisées en 2025 pour la consolidation de la paix. Ce fut  également l’occasion de  présenter le calendrier des 10 prochaines activités de la direction générale  pour le dernier trimestre.

Au regard de toutes ces actions, la ministre en charge de la cohésion nationale  satisfaite, a tenu à encourager ses collaborateurs pour leur travail acharné. « Je félicite  toute l’équipe et toutes les structures qui travaillent dans le cadre de la cohésion, vous faites un travail efficace et énorme. Nous allons donc consacrer les 3  derniers mois de l'année où vos  actions seront remises en lumière. Nous allons communiquer énormément sur la paix et la cohésion ».

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En prévision des échéances électorales de 2025, Belmonde Dogo a confié aux différents responsables qu'un effort important reste à déployer pour garantir des élections apaisées. « Nous n’allons laisser aucune zone où nous entendrons des murmures de conflits, nous devons être présents partout et en mesure de régler tous les conflits en redonnant la place qui revient aux différents chefs de communauté. Mais aussi avoir des relais  pour nous informer de tout ce qui se passera sur l’étendue du territoire. Nous ne devons pas faillir avant pendant et après les élections ».

A noter que la ministre a répondu favorablement aux requêtes des responsables pour faciliter les actions sur le terrain.